
ROBERT FINLEY
Robert Finley revient avec Black Bayou, son troisième album studio pour Easy Eye Sound, où le chanteur de 69 ans déborde d’assurance et d’une voix qui a vieilli comme un Crowne Royal Deluxe raffiné.
Sur ce nouvel album, Dan Auerbach est de retour en tant que producteur, accompagné du membre des Black Keys, Patrick Carney, et de L. Garrett Dutton, Jr. (G-Love Special Sauce) à la batterie, ainsi que des contributions des musiciens d’exception Eric Deaton et Kenny Brown, ainsi que la participation de la fille et de la petite-fille de Finley au chant. Ensemble, ils créent une exploration sonore de blues menaçant, de soul marécageuse et de funk cru, qui met en valeur Finley en tant que l’un des derniers véritables bluesmen.
Black Bayou présente des récits de voyages, d’amants dans chaque port et d’histoires d’enfance des marais de Louisiane, y compris un récit autobiographique terrifiant sur le fait d’être utilisé comme appât pour alligators quand il était enfant – le tout improvisé avec l’enregistrement en cours, chanté dans la voix forte et marquée de Robert, qui gronde et s’envole dans son falsetto signature. Une voix qui a permis à Robert de percer au-delà du bruit et de surmonter des années de difficultés et de chagrins. Un homme qui a perdu la vue et est devenu une star montante dans la soixantaine.
Découvert par Dan Auerbach, Robert Finley a sorti son album acclamé par la critique Goin’ Platinum!, qui lui a valu une place dans la saison 14 d’America’s Got Talent. Son deuxième album, Sharecropper’s Son, a été un succès marquant, lui permettant de faire la couverture de SPIN Magazine, de passer sur NPR Morning et de recevoir d’autres éloges de la critique. Il a depuis été en tête d’affiche de concerts avec les Black Keys, Greta Van Fleet, Nathaniel Rateliff et bien d’autres.
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Lowland Brothers
Le groupe hexagonal consolide ses racines soul, rock et americana dans un deuxième album libérateur et intemporel.
Combinant une puissante pulsation rock, des chœurs soulful harmonisés, un pont aérien et une mélodie accroche-tympans, « Shape Up », le premier extrait d’Over The Fence, en est le parfait exemple. Non loin, « Can You Hear Me ? », inspirée par les lead vocals à l’unisson du « Don’t Let Me Fall » des Relatives, se conclut sur un riff massif, en clin d’oeil au classic-rock millésimé. « C’est le genre de choses que nous ne nous serions peut-être pas permis il y quelques années », s’enthousiasme Max Genouel en évoquant le lâcher-prise créatif qui caractérise l’ensemble d’un album traversé par les thèmes de la paternité, de la transmission et les expériences (individuelles et collectives) vécues par les membres du groupe au cours des dernières années. « « Can You Hear Me ? » a été écrite il y a longtemps, mais nous n’en étions pas satisfaits. Nous en avions enregistré une première version en studio, mais c’est seulement lorsque nous nous sommes retrouvés tous les trois que nous avons trouvé la solution », complète Hugo Deviers au sujet d’un des titres-clés d’Over the Fence. « Nous avons toujours voulu écrire ces chansons, mais nous ne les assumions peut-être pas. Ça a été compliqué de passer le cap, mais avec cet album, nous sommes allés encore plus loin. » Plus précisément de l’autre côté de la barrière.

LAST TICKETS ON SALE AT 6.30PM AT THE TICKETBOOTH.
18h30 Ouverture des portes
19h30 LOWLAND BROTHERS
20h15 Early James
21h00 Robert Finley
Fosse debout, balcons libres assis
Présenté par Cartel Concerts